La misère de l'hiver l'indélicatesse du temps
Dépourvu de bonne manière incongrus moments
Bousculement ordinaire infirme illusion
Que je ne puis faire ou défaire entend tu mon hurlement
Un matin ou la douleur s'est bien lassée de ton corps
Tu manquais pas de courage tu savais bien faire corps
Ton rire savait toujours prendre le dessus
Résonnait toujours a mes oreilles quant t'avait mal ou dans tes insomnies
Des nuits longues de bonnes heures a papoter
Des nuits longues de bonheurs avec tes amies
La douleur a bien pris possession de toi
Déterminée et forte tu lui précéder toujours le pas
Pour la faire taire et déguiser ta voix
Tu l'étouffais comme tu savait le faire
Sans que personne ne s'en aperçoit
J'ai lavé ton corps j'ai reconnu tes blessures
L'histoire de ton corps racontait ton martyre
Le sourire toujours au lèvres tu quittes l'impure
Ce chemin qui est la mort , et cette vie qui nous leurre
Ce salut ce sommeil et la vie qui demeure
Rien a changer pour elle la vie continue
Sans toi ma chérie ma vie a changer
Dépourvu de bonne manière incongrus moments
Bousculement ordinaire infirme illusion
Que je ne puis faire ou défaire entend tu mon hurlement
Un matin ou la douleur s'est bien lassée de ton corps
Tu manquais pas de courage tu savais bien faire corps
Ton rire savait toujours prendre le dessus
Résonnait toujours a mes oreilles quant t'avait mal ou dans tes insomnies
Des nuits longues de bonnes heures a papoter
Des nuits longues de bonheurs avec tes amies
La douleur a bien pris possession de toi
Déterminée et forte tu lui précéder toujours le pas
Pour la faire taire et déguiser ta voix
Tu l'étouffais comme tu savait le faire
Sans que personne ne s'en aperçoit
J'ai lavé ton corps j'ai reconnu tes blessures
L'histoire de ton corps racontait ton martyre
Le sourire toujours au lèvres tu quittes l'impure
Ce chemin qui est la mort , et cette vie qui nous leurre
Ce salut ce sommeil et la vie qui demeure
Rien a changer pour elle la vie continue
Sans toi ma chérie ma vie a changer